La gauche divisée à Arnouville

Publié le par le_cheveulu

Rappel des faits : En novembre 2007 la section du parti socialiste élit son représentant pour les élections municipales. Deux candidats s'affrontent, d'un côté Christian Cauro, 20 ans de militantisme et quatre défaites aux municipales, d'un autre côté Franck Verrecchia, nouvel adhérent au PS, ancien vert. Suite à un vote des adhérents, Franck Verrecchia emporte la victoire pour l'investiture.

Janvier 2008 : Christian Cauro part en campagne avec quelques militants sans l'aide du PS ce qui lui vaudra son exclusion. Raison invoquée, "on ne prend pas une section comme on ferait une OPA". Celui-ci sera soutenu par Raymonde Le Texier, ce qui en dit long sur un parti soit disant démocratique mais qui ne respecte pas ses règles démocratiques comparant les adhérents à des actionnaires. Ceci rappelle beaucoup un certain vote interne aux Européennes.

Mars 2008 : Christian Cauro est élu deuxième et confirme sa supériorité dans la ville.

Aujourd'hui, les deux gauches ne se parlent plus et se déchirent sur la voie publique. Lors du dernier conseil municipal du mardi 8 mai, monsieur Verrecchia avouant sa méconnaissance du fonctionnement de la mairie s'est vu lancer une fronde par monsieur Cauro : "Vous voulez devenir maire mais vous ne savez même pas comment fonctionne une mairie!". Monsieur Aumas, maire de la ville, trop content d'avoir un opposition détruite, se fait un plaisir de jouer les arbitres en affirmant : "je ne peux régler vos querelles internes".

Affaire à suivre...

Publié dans Conseil Municipal

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L
" L'union fait la force!"<br /> C'est ce que savent tous les élèves (même peu intelligents), pour se rebeller contre le Maître!
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F
À ces mots, CAURO cria "HARO" sur le "BAUDET"!<br /> LA FONTAINE<br /> Mais rira bien qui rira le dernier! (avec un peu plus de combativité!). FLORIAN
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P
Les socialistes d'Arnouville du moins ceux qui prétendent les représenter sont parfaitement ridicules dans leur affrontement digne d'une cour de recréation. C'est tout juste si l'on ne demande pas au maître d'école, un certain M Aumas, d'arbitrer la bagarre.<br /> Il faut rapidement construire une autre approche de la vie politique arnouvilloise, hors de tout appareil, et hors de toute rivalité de personne si l'on souhaite être efficace et utile.
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